Activités commerciales accessoires connexes à l’exercice de la profession d’avocat : qu’est-il possible de faire ?
Depuis le 1er juillet 2016, les avocats peuvent commercialiser, à titre accessoire, des biens ou des services connexes à l’exercice de leur profession si ces biens ou services sont destinés à des clients ou à d’autres membres de la profession. Quatre ans après son entrée en vigueur, comment les avocats ont-ils saisi cette dérogation au régime des incompatibilités commerciales introduite par l’article 63 de la loi « Croissance » ? La période Covid-19 a-t-elle propulsé leur créativité ?