Le cabinet De Guillenchmidt & Associés intègre Veil Jourde
Georges Jourde n’a pas caché sa satisfaction d’annoncer en avant-première à la LJA l’arrivée d’une nouvelle équipe « solide » d’avocats au sein de Veil Jourde. Le cabinet De Guillenchmidt & Associés (DGA), mené par les associés Maxime de Guillenchmidt et Matthieu Ragot et composé de cinq avocats – Gilles de Boisséson, senior counsel, Victor Lehmann, Guillaume Haudry, Solange Erambert et Audrey Roustit – vient en effet d’intégrer les locaux du 171 Boulevard Haussmann. Une intégration qui permet au cabinet français de renforcer son offre de services sur deux plans. D’abord en contentieux des affaires. Maxime de Guillenchmidt a une belle réputation en contentieux commercial, mais également en contentieux réglementaires et en droit pénal des affaires.
Il assiste en outre ses clients dans le cadre de contrôles de la DGCCRF (pratiques commerciales trompeuses, dispositif anti-cadeaux, etc.). Titulaire d’un DESS en contentieux international et communautaire (Paris Cité, 2000) et d’un LLM en droit européen des affaires (UCL, 2001), Maxime de Guillenchmidt a débuté en 2003 chez Sokolow Dunaud Mercadier & Carreras, avant de rejoindre Latham & Watkins en 2004, puis Winston & Strawn en 2009 avant de fonder DGA en 2012. On notera également l’intérêt de l’associé pour les relations franco-chinoises. Il était d’ailleurs, à l’époque, responsable du chinese desk de Winston à Paris. Il participe aujourd’hui activement aux activités de la Fondation France Asie dont il est administrateur et ancien Young Leader du chapitre Chine. Fort de son arrivée, le département contentieux des affaires de Veil Jourde compte désormais sept associés.
C’est également le pôle droit public et réglementaire de Veil Jourde, porté par Maxime Seno, qui se trouve renforcé grâce l’adjonction du savoir-faire complémentaire de Matthieu Ragot qui accompagne ses clients – organisations professionnelles, groupes internationaux et ETI, organisations internationales et collectivités territoriales et associations – dans toutes leurs problématiques touchant au droit public économique, au droit international public et aux libertés publiques. Il intervient devant les juridictions administratives, y compris le Conseil d’État, ainsi que devant le Conseil constitutionnel, la CJUE, la CEDH et les juridictions internationales. Titulaire d’un master 2 en droits de l’homme et droit des conflits armés (Paris 2, 2007), Matthieu Ragot a fait ses débuts au sein du cabinet DGA en 2009 et en a été coopté associé en 2018.