Géraldine Astrup crée la pratique restructuring de Valmy
Géraldine Astrup rejoint le cabinet d’affaires Valmy, en tant qu’associée, pour porter la pratique restructuring avec son équipe, composée de deux collaborateurs.
Celle qui avait cofondé le cabinet Astrup/Tellechea, dédié au restructuring et au contentieux des affaires (cf. LJA 1441), devient ainsi la 6e associée de la structure fondée en 2012 par Barthélemy Lemiale et Julien Vandromme.
Géraldine Astrup intervient auprès d’industriels et de financiers dans le traitement amiable et judiciaire de leurs difficultés, qu’ils soient débiteurs, actionnaires, repreneurs ou créanciers.
Elle accompagne aussi bien des acteurs institutionnels que des TPE/PME ou encore des start-up ainsi que leurs dirigeants, dans toutes les problématiques liées à la crise en entreprise.
En rejoignant Valmy, un cabinet d’affaires générationnel (tous les associés ont entre 35 et 45 ans), intervenant dans tous les secteurs du droit des affaires et du financement d’entreprise, Géraldine Astrup entend permettre à ses clients de bénéficier des avantages d’un cabinet full services, mais à dimension humaine, avec une forte proximité clients.
Titulaire d’un master 2 en droit des affaires (Paris I, 2007) et d’un mastère en droit et management international (HEC, 2008), elle a débuté sa carrière dans le département restructuring de SJ Berwin en 2010, avant de rejoindre celui de Dentons cinq ans plus tard, puis de Brown Rudnick en 2017 en tant que counsel.
Géraldine Astrup a créé son propre cabinet en janvier 2019, où elle est alors notamment intervenue aux côtés de candidats repreneurs de Thomas Cook, de Bourbon ou d’Altifort.
Plus récemment, elle est intervenue pour les créanciers de Camaïeu, Pierre&Vacances et Courtepaille.
Elle a également développé une expertise terrain dans l’accompagnement aux start-up en difficultés et à leurs dirigeants (en procédures amiables ou judiciaires).
Elle est par ailleurs présidente de l’Association des jeunes professionnels du restructuring (AJR) et membre de l’Association pour le retournement des entreprises (ARE) et du réseau interprofessionnel féminin Elles&Droit.