Arthur Dethomas rejoint Hogan Lovells
Hogan Lovells est une firme pleine de surprises. Après l’arrivée fracassante de l’équipe de Philippe Druon au sein du bureau parisien il y a tout juste six mois (cf. LJA 1395), il doit bientôt être rejoint par Arthur Dethomas et son équipe. Et il n’y viendrait pas par hasard puisqu’on dit les deux associés très amis.
Âgé de 46 ans, Arthur Dethomas est un avocat aussi sympathique que technicien. Il est apprécié et respecté par ses pairs pour son professionnalisme, sa courtoisie et ses qualités humaines.
Formé à Nanterre puis diplômé d’un LLM de Washington College of law (1997), il a effectué ses deux ans de coopération dans le civil, à l’université de Phnom-Penh, comme professeur de droit. Et comme il ne fait jamais les choses à moitié, il parle couramment le khmer !
Ancien premier secrétaire de la Conférence du barreau de Paris (2003), il a été formé au M&A chez Salans avant de devenir le jeune plaideur vedette du cabinet Cotty Vivant Marchisio & Lauzeral dont il a été nommé associé en 2007.
En janvier 2013, il avait participé à la création du réputé cabinet Dethomas Peltier Juvigny & Associés. Arthur Dethomas est considéré comme incontournable sur la place parisienne pour son expertise en matière de contentieux complexes et sensibles centrés sur le haut de bilan et le droit pénal des affaires. Devenant ainsi le quatrième associé de l’équipe contentieux d’Hogan Lovells Paris (aux côtés de Christine Gateau, Christelle Coslin, promue en début d’année, et de Julien Martinet), il s’apprête à jouer un rôle clé pour porter et animer une pratique déjà très établie dans les contentieux de responsabilité du fait des produits et dans les secteurs d’industrie comme le TMT, la santé et les services financiers.
Il y adjoindra ainsi son expertise technique des litiges financiers, boursiers et des contentieux entre actionnaires et permettra à la firme de retrouver une figure de poids en droit pénal des affaires.
Avec trois associés recrutés en 2019 et une cooptation, le bureau parisien d’Hogan Lovells confirme ainsi son développement très ambitieux sur la place parisienne. Et il se murmure que la managing partner, Xenia Legendre, ne voudrait pas s’arrêter en si bon chemin...