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Quatre cabinets sur l’entrée d’Oakley Capital dans le LBO ter de I-Tracing

Par LA LETTRE DES JURISTES D'AFFAIRES

Avançant depuis 2021 avec Eurazeo, son actionnaire de référence, et Sagard, I-Tracing s’apprête à accueillir un troisième fonds à l’issue des discussions exclusives consenties à Oakley Capital. Fondé en 2005, le prestataire de services managés de cybersécurité se trouvera valorisé plus de 500 M€ par cette opération à laquelle ses actionnaires historiques contribueront tout comme ses fondateurs, dirigeants et quelque 80 cadres et employés – tandis que d’autres entreront au capital. Basé à Paris, il emploie plus de 700 experts en cybersécurité en incluant ceux notamment présents au Canada, à Hong-Kong, en Malaisie, en Chine, en Suisse et au Royaume-Uni. Affichant une croissance de près de 30 % l’an, il vise environ 150 M€ de chiffre d’affaires en 2024. Il a déjà identifié des cibles d’acquisition dans des zones complémentaires à son dispositif actuel.

Goodwin a conseillé Oakley Capital avec, à Paris, Maxence Bloch, associé, Rodolphe Amaudric du Chaffaut, Laura Robez-Masson et Sibel Tekesultan, en corporate, Marie-Laure Bruneel, associée, en fiscal, et Frédéric Guilloux, associé, en financement.

Eight Advisory Avocats a établi les due diligences fiscales, avec Guillaume Rembry, associé, Jérémy Cosma et Angélie Deniaud.

Bredin Prat a représenté Eurazeo et Sagard, avec Florence Haas, associée, Paul Worms et Louis Cochou, en corporate, Jean-Florent Mandelbaum, associé, Caroline Jacquot et Margaux Faudemer, en fiscal, Yohann Chevalier, counsel, en concurrence, Laetitia Tombarello, associée, et Louis Aluome, en social.

EY Société d’Avocats a accompagné le management, avec Frédéric Reliquet et Sophie Allex-Lyoudi, associés, et Alexis de Foucault, en corporate, et Stanislas Dujardin, associé, en fiscal.